Tandis que les douces mélodies de Boulbar invitent au rêve américain, Vincent Gravé l’accompagne… au pinceau. Avec talent, il illustre en direct les chansons.
Son travail est à découvrir dans l’exposition qui lui est consacrée au Train-Théâtre.

Et puis Sansévérino est arrivé sur scène. L’artiste qui a démocratisé le jazz manouche, est toujours aussi savoureux et décoiffant. Avec sa gouaille inimitable, son débit rapide et sa franchise habituelle, il a mis une belle ambiance.
Loin de se contenter d’un registre, il fait à nouveau dans l’originalité avec cette formule duo. Les « big band » ou trio avec lesquels il a écumé les routes, sa précédente tournée « rock aux accents rockabilly et country » ont laissé place à une formation plus réduite pour revisiter son répertoire et aussi présenter de nouvelles chansons. Un projet né suite à son désir de faire un « One Man Band » (jouer de la batterie, de la guitare et chanter en même temps !)
Une belle performance accompagnée par la contrebasse de Jidé Jouannic pour un « band à deux ». Et Sansévérino a bel et bien l’énergie d’un « big band » à lui tout seul !
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